lundi 18 juin 2012

Morano, dans l'panneau.


Morano ne siègera plus à l'Assemblée. Battue par un socialiste, elle n'a pas encore  commis le tweet qui l'achèvera. A moins qu'elle n'ait tiré un enseignement des précédents, ce dont je ne suis pas la seule à douter...



Twitter m'a "tuer"…  Le célèbre réseau social agitateur de polémiques s'est transformé en bombe à retardement. Morano s'est plantée. Une vraie tôle à Toul et une bonne nouvelle même pour l'UMP si on en juge les réactions de Fillon qui déclarait, à propos du canular de Gérald Dahan : "On ne parle pas aux dirigeants du FN"…


Dessin : Wingz, avec l'aimable autorisation d'infos-matin




En matière de petites phrases amères, la frontiste déguisée en gaulliste accumule les bévues. Incapable d'assumer un échec dont elle est seule responsable, Nadine Morano, le bouche déformée la haine, dénonce "une campagne de tous les coups tordus". 
Le Pen père, en son temps, tenait le même discours. L'histoire du complot sied bien aux extrêmes, quelles qu'elles soient. Preuve en est le recours de Marine. Et puis pour ma part, je n'avais jamais entendu une femme appartenant à un parti "républicain" déclarer se sentir "proche des valeurs du FN" et s'enflammer dans Minute. Un retour de bâton on appelle ça. Pourvu que le coup ait porté.
M'enfin, ce que j'en pense…..

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