lundi 11 novembre 2013

Ma France....



Allons z'enfants de ma fratrie
L'heure de penser est arrivée !
Contre nous de leurs litanies
L'étendard sans sang est levé
Entendez-vous dans nos banlieues ?
Souffrir tous les gens d'ici bas ?
Ils viennent jusque dans nos quartiers
Réclamer, un sou de vos compagnes !
Sans arme, citoyens
Formez une Nation
Marchons, marchons
Qu'un sang Un Pur
Abreuve nos sillons
Fon don don ...



dimanche 13 janvier 2013

De quoi j'me mêle ?

Pourquoi demander l'avis d'hétérosexuels pour légiférer sur un texte qui ne les concerne pas ?  Qu'est ce que ça peut bien leur faire et surtout, leur défaire ?
Mais enfin, sur quelle planète vivons-nous pour oser dicter aux autres un unique courant de pensée ?
La France qui rime avec intolérance n'est pas celle dont j'ai rêvée...


©AFP "Baiser de Marseille"


C'est vrai que dans certains pays du Maghreb, l'homosexualité est un crime. C'est vrai. Mais ici, nous sommes en France. Pays d'Europe où nous avons appris, au travers des siècles lumineux, à vivre en harmonie tout en croyant aux Dieux.
Bon.
C'était pour la rime parce que, France, tu tombes en décadence.
France, tu flirtes sans décence avec l'extrême déficience de cerveaux ultra-conformistes. De gros kystes. Sexistes.
Le mariage gay... La belle histoire... Mais enfin, pourquoi non ? Pour qui, non ? Pour défendre quoi ? Quelles valeurs intrinsèques d'un monde qui ment depuis son origine peut-on encore mettre en danger ?
L'homosexualité... Nous la découvrons ? Ceux qui ne l'assument pas sont sans doute les refoulés les plus dangereux que la société ait à craindre.
Et puis quoi... Moi, je crie ma colère. Parce que, au fond, je m'en fous. Le mariage, homo ou non, n'est plus une valeur à défendre. Derrière, il y a des enfants. Des milliers d'enfants élevés dans des couples homos, hétéros, bi, ter ou je ne sais encore, mais des enfants. Et ces enfants ont besoin de textes, de lois, d'amendements et de ce tas de merde pour se défendre.
Parce que, si derrière le mariage homosexuel se cache le débat de l'adoption, la réalité est tout autre : un enfant a besoin que la loi lui reconnaisse comme parents les deux personnes qui l'aiment pour la vie.
Un homme, une femme, deux hommes, deux femmes.....
Qu'importe pourvu que dans le flacon, y'ait de l'amour.....
M'enfin, moi, ce que j'en pense....